Compte rendu de la table ronde « Quel avenir pour le catalogue raisonné ? »

Table ronde : Quel avenir pour le catalogue raisonné ?

Modérée par Antoine Chatelain, avec la participation de Marie-Anne Dupuy Vachey (historienne de l’art), Jane MacAvock (docteure en histoire de l’art), Isabelle Mayer-Michalon (docteure en histoire de l’art), et Axel Moulinier (docteur en histoire de l’art). 

         Le 14 décembre dernier, la 8e édition du Forum Bella Maniera s’est ouverte sur une table ronde au sujet du catalogue raisonné animée par Antoine Chatelain. Marie-Anne Dupuy Vachey (historienne de l’art), Jane MacAvock (docteure en histoire de l’art), Isabelle Mayer-Michalon (docteure en histoire de l’art) et Axel Moulinier (docteur en histoire de l’art), ont partagé leurs expériences autour de cet outil incontournable des professionnels du marché de l’art et de la recherche en histoire de l’art. 

Le catalogue raisonné a fait l’unanimité autour de la table : il est indispensable à la connaissance des artistes et de leur œuvre car se veut exhaustif et méthodiquement composé. 

Les catalogues raisonnés sont traditionnellement chronologiques, mais lorsque la datation n’est pas suffisamment fine, quel classement adopter ?

Dans le domaine du dessin ancien, le catalogue raisonné monographique fait écho aux ouvrages de référence de la seconde moitié du xxe siècle par Pierre Rosenberg ou Louis-Antoine Prat, systématiquement consultés par les étudiants, amateurs, professionnels et historiens de l’art. Disponibles dans toutes les bibliothèques spécialisées, les catalogues raisonnés sont traditionnellement chronologiques, identifiant les étapes, évolutions et spécificités dans la carrière d’un artiste. Le classement chronologique étant généralement privilégié dans la composition de ces ouvrages, nous en avons d’abord questionné les limites lors de la discussion. Que faire lorsque le corpus n’offre pas une datation suffisamment fine pour en situer les œuvres et à quel point ce classement est-il pertinent ? 

Lorsque la possibilité de dater fait défaut, ou que l’estimation n’est pas assez fine, le classement des œuvres pose question. Différents facteurs, comme la densité du corpus, l’absence de date sur un dessin ou, dans le cas de feuilles préparatoires, la disparition de l’œuvre finie, peuvent rendre l’exercice de datation d’un dessin ou d’une œuvre difficile, voire impossible. Parfois, seules quelques pièces d’un corpus sont datées, permettant de créer des balises dans la carrière artistique : il est alors mentionné au début du catalogue qui se veut chronologique quand cela est possible. Lorsque le corpus ne permet pas du tout de classement chronologique, c’est au fil du travail de l’historien de l’art qu’un classement s’impose, à force de voir et de revoir les œuvres, de les comparer et d’y additionner des sources archivistiques et iconographiques. Ces axes ou thèmes mènent alors à une méthode adéquate pour raisonner le catalogue d’un artiste. La longévité d’une carrière artistique questionne également l’intérêt de dater précisément les œuvres. L’œuvre prolifique d’Antoine Watteau (Valenciennes, 1684 – Paris, 1721), qui a fait l’objet d’un catalogue raisonné en trois volumes publié en 19961, témoigne de la difficulté de dater des dessins sur une période d’activité brève. De fait, malgré la connaissance par les chercheurs d’un corpus graphique conséquent, la vie de l’artiste, de sa formation artistique à la localisation de son atelier, reste obscure. Concevoir un catalogue raisonné chronologique relève finalement d’un choix de l’auteur qui interroge son objet d’étude afin de produire un ouvrage-outil pertinent, utile pour la recherche en histoire de l’art. 

Cette question soulève nécessairement celle de l’acceptation ou du refus des attributions à un artiste donné, permettant de faire le tri dans une chronologie parfois nébuleuse. C’est le point soulevé par Marie-Anne Dupuy Vachey, qui travaille à la rédaction du catalogue des dessins de Jean-Honoré Fragonard (Grasse, 1732 – Paris, 1806). Leur datation est encore incertaine, puisque se pose, avant la question chronologique, celle de l’attribution ou du rejet des œuvres discutées : sur les 3000 feuilles du corpus connu, l’historienne de l’art en a authentifié 1800 de la main de l’artiste.
Dans ce genre de situation, on peut ainsi parfois espérer identifier quelques œuvres d’attribution et de datation plus certaine, afin de les utiliser comme repères d’un point de vue stylistique ou iconographique. Les œuvres de début ou de fin de carrière restent cependant notoirement difficiles à dater.

Que penser de l’incidence du catalogue sur le marché de l’art ? Est-ce que le catalogue raisonné est un tremplin pour la marchandisation des œuvres d’art ?

Musées et chercheurs ont besoin du marché de l’art et inversement. Le marché de l’art donne un accès simple à la découverte ou redécouverte d’œuvres enfouies dans des collections particulières. Inversement, un spécialiste du dessin ancien ou de la peinture ancienne en maison de vente aura toujours besoin du catalogue raisonné pour restituer son artiste, l’œuvre qu’il expertise, et saura faire appel à l’historien de l’art dédié pour mieux connaître et reconnaître l’artiste et ses œuvres. Cette collaboration évite la disparition d’œuvres anonymes disponibles sur le marché dans des collections particulières, avant même d’avoir la possibilité d’en débattre voire de les authentifier. Enfin, nombre de spécialistes actifs dans les départements Old Masters des maisons de vente aux enchères partagent le goût de notre discipline, celui du partage et l’excitation de la (re)découverte de pépites.

Quelle est cependant l’incidence de la parution de catalogues monographiques exhaustifs sur l’œuvre d’artiste dans le marché de l’art ? Inévitablement, la publication de catalogues raisonnés a une influence sur la cote d’un artiste et de son atelier sur le marché. En résulte une perception souvent négative du catalogue raisonné comme un tremplin pour la marchandisation des œuvres d’art, responsable de l’augmentation du prix des œuvres : pourtant, il donne en fait l’opportunité de voir émerger de nouvelles feuilles. Au même titre, le catalogue d’exposition de musée, qui étudie une œuvre issue de la propriété publique, participe à la fluctuation de sa valeur économique sur le marché. La publication du catalogue raisonné et d’exposition Jean Daret (1614 – 1668) – Peintre du Roi en Provence2 à l’occasion de l’exposition rétrospective de l’artiste l’été dernier en témoigne : l’ouvrage a non seulement permis de faire émerger six dessins découverts par Jane MacAvock, augmentant ainsi le corpus de l’artiste, mais a aussi fait grimper la cote de ce dernier sur le marché de l’art. La diffusion de la connaissance d’un artiste permet aux collectionneurs, amateurs, marchands qui conservent ces œuvres de les sortir de leurs meubles à plans, de les décrocher des murs, de les regarder, d’augmenter leur documentation et s’il y a vente, de laisser aux musées l’occasion d’enrichir leurs collections. Aussi, pour les « grands » artistes, tels que Watteau ou Fragonard, selon Marie-Anne Dupuy-Vachey la parution d’un ouvrage monographique n’a finalement pas de grande incidence sur le marché. Travaillant à la rédaction du catalogue des dessins de Fragonard, elle souligne que les œuvres de ces artistes sont d’ores et déjà inabordables dans le commerce de l’art, hormis peut-être les petites gouaches méconnues de Fragonard… Enfin, la question de la cote d’un artiste s’envisage en fonction non seulement de sa popularité mais aussi de la provenance de son œuvre : le seul facteur d’authenticité, de main autographe ne suffit pas.

En définitive, le marché de l’art constitue un solide allié de la recherche en histoire de l’art, chercheurs et spécialistes travaillant sur un même objet d’étude. C’est par l’enjeu que diffèrent les deux métiers : la notice du catalogue de vente ne répondra donc pas aux mêmes objectifs que celle du catalogue raisonné. 

Est-ce que le catalogue raisonné imprimé a encore un avenir ? Nous sommes dans une époque qui apparaît comme charnière : fracture importante entre des éditions papier et numérique ?

Le catalogue raisonné doit avoir un avenir pour l’enrichissement du savoir en histoire de l’art et sa transmission mais aussi pour privilégier la traçabilité des recherches et leurs avancées. Ces dernières doivent être diffusées par la publication de livres ou d’articles, peu importe l’ampleur du corpus étudié. Nos intervenants reconnaissent que la rédaction d’un catalogue raisonné est un travail de longue haleine, étalé sur des années et parallèlement auquel chacun mène différents projets professionnels. Ce marathon nécessite de l’endurance mais surtout des résultats : malgré la quête d’exhaustivité rêvée des historiens et historiennes de l’art dans le travail de catalogage, il demeure impératif de délivrer ce savoir cumulé et de le diffuser. À la question de la forme à privilégier pour transmettre les recherches, la réponse est unanime : la publication papier. Si cette affirmation peut paraître vieille école, les jeunes chercheurs partagent ce point de vue. Un article ou une base de données édités en ligne n’ont pas le même retentissement que la publication papier, qui légitimise finalement le travail du chercheur ou de la chercheuse en sciences humaines et appuie sa carrière. Ainsi, intervenants et intervenantes se sont accordés sur l’intérêt symbolique comme scientifique de la publication papier : ultime étape qui parachève et officialise par exemple l’obtention d’une thèse, elle fait également date au sens où elle fait état des connaissances sur un sujet au moment précis de la publication. Aussi, le livre apporte un confort de lecture et demeure tout simplement plus pratique à manipuler instinctivement qu’un contenu en ligne. 

Par ailleurs, si le catalogue numérique peut se présenter comme une solution de contournement des limites du papier en termes d’exhaustivité et d’accessibilité, il soulève néanmoins des questions techniques et financières. En plus de connaissances informatiques, la construction d’un catalogue en ligne implique des coûts élevés et à long terme d’entretien et de stockage des données. Non moins préoccupant est le souci évoqué de l’obsolescence du site, des limites de sa pérennité. Au-delà de ces enjeux, il faut questionner l’exhaustivité des données que l’on met en ligne ou non. Si un site se prétend être un catalogue raisonné en ligne, il faut également s’assurer de son exhaustivité (qu’il s’agisse du corpus ou des informations relatées), et s’assurer qu’il ne soit pas une base de données. Le format numérique est souvent plébiscité pour des artistes avec de nombreuses versions, copies ou au corpus très important et qui ont une actualité dynamique, comme Antoine Watteau ou Hyacinthe Rigaud (Perpignan, 1659 – Paris, 1743). En 2014 par exemple, Martin Eidelberg a mis en ligne le site « A Watteau abecedario3”, recensant, sur le modèle de l’abécédaire de Mariette, les tableaux de l’artiste. Il joint à chacune de ses notices une bibliographie, un historique et – s’il y en existe – du contenu iconographique en rapport avec l’œuvre. Cette ressource, bien qu’accessible et mise à jour régulièrement, a fait l’objet en 2021 d’une publication à trente exemplaires, en l’état, pour pérenniser sous forme de livre le travail jusqu’alors mené4 : preuve que le papier rassure, permet d’ancrer des résultats et de les diffuser dans les bibliothèques spécialisées. Le corpus de Hyacinthe Rigaud quant à lui fait l’objet de deux sites Internet : ceux de Stephan Perreau et d’Ariane-James Sarazin. Le premier « propose l’ensemble des productions peintes, dessinées et gravées par et d’après l’artiste5 » classées scientifiquement et en tenant compte de l’actualité du peintre, sur la base d’un catalogue publié en 2013. Le second, hébergé par les éditions Faton, se présente comme un site d’actualisation de la recherche sur Rigaud, en supplément du catalogue raisonné publié en 20166. Par ce biais, Ariane James-Sarazin précise, corrige et complète les deux tomes de référence sur le portraitiste.

La conclusion des échanges entre les intervenants et l’auditoire est unanime : le catalogue raisonné papier a un avenir comme usuel indispensable pour l’historien de l’art. La mise en ligne de bases de données d’œuvres est un outil accessible et efficace pour le chercheur mais la discussion a pu en tracer aisément les limites. Malgré des initiatives en ligne plus « pratiques » mises en œuvre pour donner un accès simple aux informations, celles-ci n’en restent pas moins très coûteuses sur le long terme. La publication papier demeure un outil de référence, qui pérennise les avancées de la recherche sur un artiste et son corpus. 

Cela m’amène à évoquer la question des addenda : quelle forme privilégier pour les addenda ? Des articles ? Publier sur un site internet comme Ariane James-Sarazin pour Rigaud ?

 La forme prise par les addenda ou publications qui complètent les catalogues, n’est pas commune à tous les autrices et auteurs. Ce support à la fois essentiel et imparfait est souvent publié sous forme d’articles papier, parfois en ligne. La difficulté est que les addendas ne sont pas toujours connus des lecteurs et lectrices, hormis s’il s’agit d’un public averti, voire de spécialistes. 

Isabelle Mayer-Michalon, historienne de l’art indépendante, autrice de l’ouvrage Charles Meynier (1763 -1832)7, a publié les numéros complémentaires au catalogue raisonné de l’artiste dans les Cahiers d’histoire de l’art : « Charles Meynier (1763 – 1832), Supplément au catalogue raisonné. Première Partie : Les albums de dessins de l’école polytechnique8 » en 2018 puis la seconde partie en 2020. La publication d’addenda en ligne, précédemment mentionnée dans le cas de l’initiative d’Ariane James-Sarazin pour Hyacinthe Rigaud est aussi envisagée. Cette dernière met régulièrement à jour la recherche sur le portraitiste, ajoutant les données connues sur sa vie (dans l’onglet qui concerne le premier tome du catalogue soit l’essai monographique sur l’artiste) et celles sur les œuvres de Rigaud, de son atelier et de ses suiveurs (dans un second onglet qui concerne le corpus). La mise en ligne de ces augmentations les rend, dans un sens, plus accessibles au public. De fait, les informations sont en accès rapide et ne nécessitent pas d’être recherchées dans un catalogue de périodiques abondants. Malgré cela, dans l’exemple précité, la pérennité du site est permise uniquement par la prise en charge des frais d’entretien du site web par les éditions Faton, démontrant ici aussi les limites de l’utilisation de ce média de diffusion malgré son immense potentiel. 

Quel est l’avenir pour les catalogues raisonnés ? Ils sont intimement liés au connoisseurship qui connaît depuis quelques années un certain discrédit de la part des universitaires ; les monographies sont largement découragées à de rares exceptions. Que pensez-vous de cette évolution ?

L’avenir des catalogues raisonnés repose d’abord sur les financements que l’on veut bien allouer à leur publication. Ces ouvrages en quête d’exhaustivité caractérisés par leur grand format demandent la mise en œuvre de moyens considérables englobant un coût de déplacement pour son ou ses auteurs et surtout d’édition comprenant les frais de droit de reproduction des images (qui varient en fonction du nombre de tirages), de mise en page, de relecture et d’impression. Ainsi, l’association pour la diffusion de l’histoire de l’art, Arthena, œuvre à l’édition et au rayonnement de ces ouvrages scientifiques indispensables à la recherche, aux chercheurs et aux professionnels de l’art.

Pourtant, depuis quelques années, les thèses universitaires à thématique monographique – comprenant des catalogues raisonnés – souffrent d’une forme de discrédit de la part des universitaires, en raison de leur lien avec la méthode du connoisseurship. Sont ainsi privilégiés par les directeurs et directrices de thèse et les laboratoires les sujets transversaux. De fait, sur le modèle universitaire américain, les étudiants sont orientés vers des sujets théoriques, à thèse unique, plutôt que vers l’élaboration d’études basées sur la recherche en archive et la découverte de sources primaires. Les sujets transversaux ne sont pas à désapprouver, mais doivent s’appuyer sur des corpus solides. Le catalogue raisonné demeure la base du travail de tous les historiens de l’art, même de ceux qui le critiquent. 

Enfin, le panel s’accorde sur la nécessité de revenir aux monographies d’artistes et ce malgré l’épuisement des « grands artistes ». L’histoire de l’art étant circulaire, il est important de se tourner vers l’étude d’artistes dits « secondaires » pour ouvrir d’autres champs de la recherche et encourager la rédaction de nouveaux catalogues raisonnés, usuels indispensables de la discipline. 

En somme, le catalogue raisonné est au cœur de la recherche en histoire de l’art. Élément indispensable à l’étude de la vie et de l’œuvre de l’artiste, grâce à son exhaustivité et sa valeur scientifique, il est fondamental dans l’apprentissage rigoureux du métier d’historien. Les multiples considérations effectuées lors de cette table ronde ont soulevé bon nombre de questions méthodologiques mais ont aussi et surtout fait émerger un problème d’envergure lié à la publication de catalogues raisonnés : l’argent. L’édition, la publication et la diffusion des recherches monographiques en histoire de l’art ne peut prospérer sans des financements et sans la juste rémunération de leurs auteurs et autrices. 

Louna Commans Bernard

  1. Pierre Rosenberg et Louis-Antoine Prat, Antoine Watteau (1684-1721) : catalogue raisonné des dessins, Milan, Leonardo, 1996, 3 vol. ↩︎
  2.  Jane MacAvock (dir.), Jean Daret (1614-1668) : Peintre du Roi en Provence, [cat. exp. Aix-en-Provence, musée Granet, 15 juin – 29 septembre 2024], Aix-en-Provence, musée Granet, Paris, LienArt, 2024. 
    ↩︎
  3. Voir :  http://watteau-abecedario.org/default.htm↩︎
  4.  Martin Eidelberg, A Watteau abecedario: a catalogue raisonné of the paintings of Antoine Watteau. Volume I. A-D, New York, Édition Amis d’Antoine, 2021.
    ↩︎
  5.  Voir : https://www.hyacinthe-rigaud.com/ . ↩︎
  6.  Ariane James-Sarazin, Hyacinthe Rigaud, 1659-1743, Dijon, Éditions Faton, 2016, 2 vol. ; son site d’actualisation de la recherche sur Hyacinthe Rigaud : https://www.hyacinthe-rigaud.fr
    ↩︎
  7.  Isabelle Mayer-Michalon, Charles Meynier, peintre d’histoire (1763-1832), Paris, Arthena, 2008.
    ↩︎
  8.  Isabelle Mayer-Michalon, « Charles Meynier (1763 – 1832), Supplément au catalogue raisonné. Première Partie : Les albums de dessins de l’école polytechnique », Les Cahiers d’histoire de l’art, no 16, 2018, p. 95-128 ; « Charles Meynier (1763 – 1832), Supplément au catalogue raisonné. Deuxième Partie », Les Cahiers d’histoire de l’art, no 17, 2019, p. 92-122. 
    ↩︎

1 réflexion sur “Compte rendu de la table ronde « Quel avenir pour le catalogue raisonné ? »”

  1. Charlotte de Waru

    Merci beaucoup pour ce compte-rendu de la table-ronde sur les catalogues raisonnés à laquelle je n’avais pas pu assister. Travaillant sur la monographie du peintre Auguste Vinchon dans le cadre d’une thèse à Paris I sous la direction de Pierre Wat, cela met du coeur à l’ouvrage.

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